L'homme et Dieu

L'homme et Dieu. Laissons entrer le soleil ! https://www.thebookedition.com/fr/l-homme-et-dieu-p-373179.html (Pour la Saint Patrick, vidéo proposée au public depuis le 18 mars ) En toute humilité, je me suis senti poussé à émettre une base de réflexion sur nos origines. Cela me paraissait très important de citer certains éléments, d’autant pour montrer l’incohérence des fondamentaux basés sur des pensées opposées qui cohabitent ! Découvrez notamment Notre Dame, Glypho désastre, Toxiques dans les baies, la corrida virus, un baiser ... (J'ai préféré le blanc sur couverture, pour titre, nom et synopsis) J'espère que pour les amateurs de musique classique vous apprécierez celle que j'ai dénichée ! Merci de vos encouragements et du partage si vous appréciez ! Patrick La vidéo "Découvrez la vérité sur le Covid 19 (coronavirus connu depuis 2002 !)" a été retirée de la circulation (car mise en cause des inventeurs "P4" de l'institut Pasteur), pour information un pdf "brevet" de 300 pages existe bien. (actuellement encore sur /watch/)gmeKdOAqAYHqe Montage réalisé avec Filmora et non Davinci Resolve Titre: The Return Auteur: Alexander Nakarada Source: https://www.serpentsoundstudios.com Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ Téléchargement (4MB): https://auboutdufil.com/?id=527 Pour les mélomanes: « The Return » est une musique épique, dans laquelle on sent bien que l’artiste a mis toute sa passion. Sur les 4 minutes 40 que dure le morceau, on passe par toutes les émotions. « The Return » commence tout en douceur, par des notes sobres, dépouillées, jouées au synthétiseur dans un rythme assez lent. Assez vite, des violons se superposent, ajoutant une deuxième strate d’instruments, à la fois vivante et apaisante. A travers ce début très doux, on peut tout de même déceler une certaine urgence. Le rythme se rompt avant la première minute et devient épique, beaucoup plus rapide. On retient son souffle jusqu’à une seconde rupture, qui cette fois laisse place à la douceur. La pause ne dure que quelques secondes et la musique repart dans une rythmique effrénée. Ce sont les variations de rythme et les ruptures qui donnent une dimension aussi émotionnelle à ce morceau. Le titre du morceau est assez vague : faut-il le prendre au sens propre, ou comme une métaphore ? Comme la musique d’Alexander Nakarada n’a pas de paroles, on peut l’interpréter librement. Je trouve que cette musique a presque quelque chose de militaire, qui laisse imaginer un retour au pays après une guerre victorieuse : la sérénité, la joie, l’envie de rentrer chez soi au plus vite… tout s’entend dans le morceau. Ou bien on peut imaginer, au contraire, un retour à la guerre. On entend alors la résignation, l’espoir, le désir de conquête. Signé "Au Bout Du Fil"

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